Illustration coaching éditorial

Coach éditoriale et biographe

Journaliste et éditrice, formatrice et coach, j’ai bâti une expertise en coaching éditorial.

Je me propose d’accompagner votre projet éditorial et

  • d’entretenir votre motivation
  • de vous donner confiance
  • de poser les bonnes questions au bon moment pour cadrer le projet
  • de vous aider à établir une routine d’écriture. Et de la respecter
  • de vous livrer des clés et des outils pour faciliter vos temps d’écriture
  • d’imprimer une cadence au projet pour qu’il arrive à son terme dans les délais fixés
  • d’intervenir de manière individualisée auprès de chacun pour entretenir motivation et enthousiasme.

« J’écris lorsque je suis inspiré, et je m’arrange pour avoir de l’inspiration chaque matin à neuf heures. » 

Peter De Vries

De l’idée au tapuscrit

J’ai conçu un coaching qui vous conduira au bout de votre rêve.

Tout au long du parcours :

  • vous bénéficierez de conseils personnalisés
  • vous élaborerez un planning et mettrez en place une routine d’écriture
  • vous vous livrerez à des exercices d’écriture où vous assouplirez votre plume tout en entretenant votre motivation
  • et, au terme de cet accompagnement, vous aurez surmonté le syndrome de la page blanche ; vous aurez mené à bien ce projet d’écriture
  • et surtout vous tiendrez dans vos mains un manuscrit achevé, prêt à être imprimé

Produire la matière textuelle

Pour que vous puissiez lire Les Misérables, il a fallu que Victor Hugo écrive les 530 000 mots qui le composent, soit plus de 5 millions de signes.

Si JK Rowling n’avait pas couché sur le papier les 80 000 mots de son premier opus, des millions de lecteurs n’auraient pas suivi Harry Potter dans ses aventures. Notons que les tomes suivants ont pris de l’embonpoint. Harry Potter et l’Ordre du Phénix compte 257 000 mots.

Si Tolkien n’avait pas écrit les 670 000 mots de sa Trilogie « The Lords of the Rings », point de passion planétaire pour Gandalf, Aragon et la terre du Milieu.

Un livre, c’est d’abord une « matière » qu’il faut produire.

Sachant qu’un livre compte une moyenne de 250 mots par page, il vous faudra produire (je maintiens ce verbe à dessein) :

  • 250 * 100 = 25 000 mots pour un livre de 100 pages.
  • 250 * 200 = 50 000 mots pour un livre de 200 pages.
  • 250 * 300 = 75 000 mots pour un livre de 300 pages.

Pour accompagner votre projet éditorial, je me propose :

  • de vous aider à établir une routine d’écriture. Et à la respecter
  • de calibrer son volume et sa durée
  • de poser les bonnes questions au bon moment pour cadrer votre projet
  • d’être là et d’intervenir de manière individualisée auprès de vous pour entretenir motivation et enthousiasme
  • de vous livrer des clés et des outils pour faciliter vos temps d’écriture
  • d’imprimer une cadence au projet pour qu’il arrive à son terme dans les délais fixés

Nous serons en contact constant, via

  • une plateforme de visioconférence pour nos échanges réguliers à moins que vous ne préfériez un échange téléphonique
  • une plateforme d’apprentissage en ligne pour télécharger des fiches outils
  • un drive pour le dépôt des documents
  • et bien sûr ma messagerie personnelle

Si vous êtes pressé.e vous pouvez rejoindre le Défi 1000 mots où vous serez accompagné.e pour écrire 1000 mots par jour pendant trois mois. Un joli sprint d’écriture et une belle aventure.

Du tapuscrit au livre

Une fois votre manuscrit terminé, il reste une étape avant qu’il ne devienne un livre ; Il faut le préparer.

Je peux vous accompagner pour cette fin de parcours et vous proposer les prestations suivantes :

  • Mise en page de votre manuscrit (via le logiciel professionnel Indesign)
  • Correction orthographique, typographique de votre texte
  • Création du PDF prêt à être imprimé
  • Création d’une version numérique de votre livre
  • Attribution d’un numéro légal EAN / ISBN à votre ouvrage

Nous pourrons établir un prix de vente adapté en fonction de votre thématique et de la longueur de votre texte. Un livre se jauge à sa tranche ! Je vous conseillerai pour les vitrines de vente qui s’offrent à vous.

L’autoédition est une aventure. Elle a un coût.

Passer d’un fichier texte à un livre imprimé implique plusieurs d’étapes.

La préparation d’un manuscrit prend du temps, mais cette étape est indispensable. Il s’agit de corriger le texte, de supprimer les fautes d’orthographe, de syntaxe, de ponctuation. Correctrice diplômée de Formacom, je ne prends pas cette étape à la légère. Les auteurs qui ont travaillé avec moi pourraient vous dire que je suis pointilleuse. Combien de livres autoédités déçoivent leurs lecteurs par la piètre qualité de leur mise en page, mais surtout de leur correction. Cela me désole.

Vient ensuite l’étape de la mise en page. Là encore, la rigueur et le professionnalisme sont de mise pour éviter, par exemple, les choix typographiques illisibles.

Dernière étape, l’impression de l’ouvrage. Le fichier du texte mis en page doit être envoyé à l’imprimeur. Au préalable, ce dernier aura établi un devis. Les frais d’impression dépendent évidemment du nombre d’exemplaires que vous souhaitez. Nous pourrons là encore discuter du volume adapté à votre projet.

Tous les auteurs que j’ai accompagnés dans cette aventure ont récupéré leur mise de fonds grâce à la vente de leurs livres.